Dans cette vidéo vous trouverez : 1. Qu’est ce que la conscience du manque et comment la repérer 2. La conscience d’abondance et le shift pour l’atteindre.
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Merci Ana pour cette vidéo et ce beau partage! Apprenons chaque jour à être davantage dans cette énergie de partage, « d’équité », dans l’ouverture de cœur et dans l’amour, dans nos gestes quotidiens. Un abrazo
Bonjour Sandra,
ta vidéo vient à point car j’ai appris hier que le père de mon fils demande à supprimer la pension de l’enfant qui vit chez moi, car celui-ci va passer la semaine dans son appartement près de son école et revenir le week-end seulement ; en conséquence, ne plus être vraiment à ma charge… J’ai connu une période d’angoisse du manque il y a 16 ans déjà lors de notre séparation et j’ai vidé mon livret A en un an pour payer mon crédit d’appartement, en restant auprès de mon fils, j’avais cessé mon travail pour m’occuper de mon fils, j’ai du reprendre et mes parents étant décédés j’étais seule pour faire face aux échéances.J’ai repris mon travail et je n’ai presque plus vu mon fils dans ses jeunes années, pour travailler et payer ce crédit immobilier, cette protection du lieu de vie, (une chance de ne pas être à la rue).
Aujourd’hui je n’ai plus envie d’aller me faire humilier devant un juge, de me battre pour des euros, j’ai envie de me libérer de ce lien d’argent, de pension, que je ressens comme une « prostitution » , mais qui représente une protection pour mon fils, pour ses études.
Alors j’ai peur, nous allons devoir déménager, il sera coupé de sa chambre, sa ville, ses copains, occupé par ses études , très prenantes, très concurrentielles, mais un jeune, supporte, s’adapte…?, pour ma part, je ne sais même pas où aller car je me suis coupée socialement de tous , devenue, une honte, une femme seule, etc…et âgée en plus.
Et pourtant j’aspire à cette liberté, malgré le lien de vie qu’est l’enfant. j’aspire à me séparer de son père, de ce lien d’argent . Comme si ma vie pouvait encore se déployer( j’ai 63 ans!)
Je ne sais pas si j’ai raison, de me libérer totalement, j’ai peur…du lendemain , du manque.
J’ai aussi l’impression de ne plus défendre mon enfant, de l’abandonner au monde des riches mais radins, du confort sans coeur, sans amour?
Il peut être abandonné à son tour…?
Je n’avais pas pensé à Gagnant/gagnant car son père est un DUR, pas un bienveillant, qui ne fait pas de compromis.
je ne sais pas négocier et je ne crois pas à la justice des hommes.
je vais ré-écouter, réfléchir , tenter d’écouter mon coeur.