En ce moment et depuis un certain temps on nous parle des pénuries (d’électricité, d’essence, de moutarde et de n’importe quoi). Tout ça avec en prime une crise économique qui pointe le bout de son nez. Certains d’entre vous remarquent que tout semble organisé, peut être…
Et en même temps, ce qui m’intéresse dans cette histoire c’est le mot « pénurie » (absence, carence, insuffisance).Nous sommes, mes ami.es, une fois de plus, dans une initiation. Nous avons vécu celle du covid, où il s’agissait de passer de la peur de la mort et de la maladie, à dire OUI à la vie. Et maintenant nous sommes en face d’une des plus grandes peurs de l’humanité : LA PEUR DU MANQUE. Et je suis vraiment heureuse que cela arrive enfin. Car collectivement, et individuellement, nous avons besoin de nous affranchir de cette peur archaïque qui est pour certains un véritable moteur et qui en même temps, nous maintient dans une tension constante, dans une espèce d’esclavage pour remplir la peur / douleur du vide. Ne vous inquiétez pas : nous allons traverser tout cela ensemble. Je continuerai à vous parler dans d’autres articles, car ce sujet est très important… Je peux déjà vous avancer que l’antidote de la peur du manque est la GRATITUDE ET LA BÉNÉDICTION.